Jean Piet nous partage un article paru dans La nouvelle République au sujet de son dernier ouvrage, Montmorillon, ma ville tome 2
Et voici son contenu :
Ces temps de confinement sont propices à la lecture : hasard du calendrier, c’est ce mois-ci que Jean Piet a choisi de publier le deuxième tome d’un recueil de poésies consacré à sa ville natale.
Même s’il vit aujourd’hui dans l’Indre, Montmorillon reste une des meilleures sources d’inspiration de cet auteur prolifique : « J’y ai passé trente-six années de ma vie. Ce tome est composé de 52 poésies qui retracent mon parcours dans cette cité, et qui nous parlent de quartiers qui furent pour moi le décor de mon enfance, de ma jeunesse, et même de ma vie d’adulte. Ma grand-mère s’y est mariée, elle y fut enterrée, mes parents s’y marièrent aussi. »
Jean Piet revendique une poésie « classique », essentiellement en alexandrins. Ses textes parlent souvent de la Gartempe et du Brouard, des saisons qui s’écoulent, mais aussi des plaisirs de la vie et de la table. Extrait : « Le Vieux Pont Gothique, rond de son arc d’ogive, Relie les terres du haut à celles du bas, Un passage secret avec en contrebas, Ladite Gartempe et la fraîcheur de ses rives. » (Frontière).
Auteur d’une douzaine d’ouvrages, souvent en collaboration avec son épouse Séverine Portejoie, illustratrice, Jean Piet alimente également une page Facebook, « Poésie, nouvelles. Les rives bleues », « qui me permet de toucher plus de 20.000 personnes par semaine. Je viens de terminer un autre recueil, consacré aux fleurs et aux arbres. Mon quatorzième recueil est quant à lui presque achevé, et traitera d’un sujet qui nous touche tous : la guerre, déclinée sous toutes ses formes, à diverses époques de notre histoire. »
Même s’il vit aujourd’hui dans l’Indre, Montmorillon reste une des meilleures sources d’inspiration de cet auteur prolifique : « J’y ai passé trente-six années de ma vie. Ce tome est composé de 52 poésies qui retracent mon parcours dans cette cité, et qui nous parlent de quartiers qui furent pour moi le décor de mon enfance, de ma jeunesse, et même de ma vie d’adulte. Ma grand-mère s’y est mariée, elle y fut enterrée, mes parents s’y marièrent aussi. »
Jean Piet revendique une poésie « classique », essentiellement en alexandrins. Ses textes parlent souvent de la Gartempe et du Brouard, des saisons qui s’écoulent, mais aussi des plaisirs de la vie et de la table. Extrait : « Le Vieux Pont Gothique, rond de son arc d’ogive, Relie les terres du haut à celles du bas, Un passage secret avec en contrebas, Ladite Gartempe et la fraîcheur de ses rives. » (Frontière).
Auteur d’une douzaine d’ouvrages, souvent en collaboration avec son épouse Séverine Portejoie, illustratrice, Jean Piet alimente également une page Facebook, « Poésie, nouvelles. Les rives bleues », « qui me permet de toucher plus de 20.000 personnes par semaine. Je viens de terminer un autre recueil, consacré aux fleurs et aux arbres. Mon quatorzième recueil est quant à lui presque achevé, et traitera d’un sujet qui nous touche tous : la guerre, déclinée sous toutes ses formes, à diverses époques de notre histoire. »
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