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samedi 14 août 2021

Critique littéraire de Ruisseaux d'opales suivi de L'île aux hiéroglyphes

 Marine Rose nous présente une critique littéraire de son recueil Ruisseaux d'opales suivi de L'île aux hiéroglyphes, par Jean-Paul Gavard-Perret, parue sur le salon littéraire du site L'internaute.com


Des jours et de toujours : Marine Rose

Marine Rose poursuit sa quête poétique habitée, aussi mystique que sensorielle. Pour elle chaque être appartient à la divinité, néanmoins la poésie reste ancrée dans le monde comme la beauté du corps dans la profondeur de l'âme.

Les deux font partie de la créatrice mais elle ne les porte pas en étendards. Tout devient une balade dans l'intime sentiment du cœur. L'extérieur lui fait écho et les deux interagissent dans un univers qui s'ouvre et où l'auteure devient multiple quoique toujours une.

D'où des voyages vers des sud imaginés dans des harmonies dont la moulure de la chair n'est rien par rapport à la tendresse que la poétesse s'accorde comme elle l'accorde aux humains. Toutefois la rêverie n'est pas évanescente et jusque dans les allées d'un super marché de grands émois nourrissent les chalands.

Cette poésie est donc rare et à contre époque dans ce qui tient d'un chant d'amour ample et universel. Même en burqa noire ou en femme baignée de la chaleur torride de l'été Rose Marine reste fidèle à ses croyances et à sa vérité. C'est pourquoi ici le lyrisme sonne juste puisque c'est le fruit d'une étreinte céleste.

Jean-Paul Gavard-Perret

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