Menu

mercredi 3 mars 2021

De guerre lasse

Le livre papier est à 12 € + 3 €de frais de port (forfait pour une commande, quel que soit le nombre d'ouvrages commandés. Si la commande atteint ou dépasse 35€, les frais de port sont offerts)
Le livre au format pdf est à 6 €
Pour le commander par Paypalcliquer : lien Paypalnoter le prix, l'article commandé et l'adresse de livraison.
Pour le commander par Virement, voici le lien pour mon IBAN, merci de doubler le virement par un mail à cette adresse mail : editionsstellamaris@stellamarispoemes.com, précisant l'article commandé et l'adresse de livraison
Vous pouvez également le commander par Chèque bancaire ou postal à l'ordre des Editions Stellamaris : adresse postale Editions Stellamaris, 1 rue Louis Veuillot, 29200 Brest, en précisant l'article commandé et l'adresse de livraison.Format 14*17 cm, 62 pages N&B.

Pour vous faire une idée, vous pouvez en consulter des extraits ici

Pour les professionnels (libraires) : Joignez-moi par mail pour application de mes tarifs de vente aux professionnels. Dépôt-vente possible. 
____

Poésie libérée
____

Lorsque la plume se tait, que l’encre se tarit, lorsque les mots demeurent scellés sur les lèvres, lorsqu’un poing rageur se lève, lorsque la politique se dresse sur ce qu’elle croit être son bon droit, l’on entend les bruits de bottes et les cris d’épouvante des soldats. Je bois les larmes des civils, de ceux restés chez eux à attendre la mauvaise nouvelle... mais la guerre, ce n’est pas que cela, c’est la guerre des nerfs, celle que nous avons livrée pendant la pandémie, durant ce très long confinement, c’est la lutte des femmes qui ne réclament que leur part, mais que certains ont du mal à leur donner.

La guerre, c’est la fin du dialogue, des échanges constructifs, mais c’est aussi une machine inovante, notamment dans le milieu médical, qui permet d’améliorer les soins par exemple, mais à quel prix.

La guerre, c’est l’homme, dans toute cette laideur que je vais vous conter, dans toute cette peine qui m’accable en écrivant ces lignes.

Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire