Julien Noël nous fait part d'une critique reçue pour son recueil Contes du sabbat et autres diaboliques amuseries... Félicitations, Julien !
Les poésies faussement naïves de Julien Noël ne dérogent pas à la mission qui est la sienne. A savoir magnifier le peu de réalité, transfigurer/illuminer les gouffres amers du subconscient, donner du sens à la magie et de la magie aux sensations et aux concepts. L'écriture se fait ainsi sorcière, elle nous mène de ce fait au sabbat du langage. L'érotisme torride voisine avec les aperçus théologiques qui, l'air de ne pas y toucher, sont comme des sentinelles qui veillent entre les lignes.
Julien nous parle de sorcières, de créatures étranges, le tout en poésie.
Cela change que de les lire en poésie et non en histoire, j'ai trouvé que cela donnait plus de profondeur aux différents personnages présents dans ce recueil.
Certains des poèmes de Julien m'ont fait rigolés, et d'autres m'ont émus. Chaque fois les mots sonnent juste, comme pour une chanson que l'on aime écouter, on aime lire les poèmes de Julien.
La toute première chose qui m'a attirée, c'est la couverture, un peu étrange, un peu surnaturelle, mais moi je l'aime beaucoup. Ce recueil aurait fait 300 pages que cela ne m'aurait pas posé de problème de le lire.
Voici un de ceux que j'ai préféré.
Contes du sabbat et autres diaboliques amuseries
Les poésies faussement naïves de Julien Noël ne dérogent pas à la mission qui est la sienne. A savoir magnifier le peu de réalité, transfigurer/illuminer les gouffres amers du subconscient, donner du sens à la magie et de la magie aux sensations et aux concepts. L'écriture se fait ainsi sorcière, elle nous mène de ce fait au sabbat du langage. L'érotisme torride voisine avec les aperçus théologiques qui, l'air de ne pas y toucher, sont comme des sentinelles qui veillent entre les lignes.
Marc-Louis Questin
Chronique
Julien nous parle de sorcières, de créatures étranges, le tout en poésie.
Cela change que de les lire en poésie et non en histoire, j'ai trouvé que cela donnait plus de profondeur aux différents personnages présents dans ce recueil.
Certains des poèmes de Julien m'ont fait rigolés, et d'autres m'ont émus. Chaque fois les mots sonnent juste, comme pour une chanson que l'on aime écouter, on aime lire les poèmes de Julien.
La toute première chose qui m'a attirée, c'est la couverture, un peu étrange, un peu surnaturelle, mais moi je l'aime beaucoup. Ce recueil aurait fait 300 pages que cela ne m'aurait pas posé de problème de le lire.
Voici un de ceux que j'ai préféré.
Alouqua
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