Khris Anthelme, auteur aux Éditions Stellamaris de "Poémitude tome cinquième" et "Poémitude tome sixième", Poémitude tome septième", "Poémitude tome huitième", "Bérénice et Lui", "Le vieux manoir", "Sonnets pour une autopsie", "Le livre des saisons" et "Clichés et Poésie" nous offre cette critique littéraire de "George Sand en vers et en couleurs, envers et contre tout", de Thérèse Ruffault-Jombart... Merci Khris !
George Sand en vers et en couleurs, en vers et contre tout
George Sand que je qualifierai de Dame d'exception était en avance sur le temps, écrivain elle aimait, ciel, quels défauts !
Peu l'on comprise, peu ont su l'apprécier à sa juste valeur, beaucoup l'ont discréditée.
La force de son caractère gênait semble t-il, elle ne qui ne désirait qu'un tout petit statut, « vivre libre, » et pouvoir offrir cette liberté à toutes les femmes.
Mais je ne suis pas ici pour disserter sur elle, il y aurait tant et tant à dire et à contredire.
Thérèse a su nous parler d'elle comme personne n'a pu le faire auparavant ; ne fallait-il pas pour écrire une biographie de cette valeur être femme pour comprendre ce que George Sand a vécu ?
Mais cela suffisait-il ?
Ne fallait-il pas avant tout s'en imprégner pour ne dire se mettre dans la peau du personnage, voire plus, se faire accompagner par le personnage lui-même ?>
Car cette biographie est savamment réalisée, organisée pour nous faire admettre, lisant les nombreux et beaux poèmes insérés dans le récit, ce que l'écrivain à l'époque éprouvait, comme si c'était elle qui nous parlait.
George Sand n'avait-elle pas en elle un trop plein d'amour, ne désirait-elle pas que cette amour débordant aille beaucoup plus loin que sa pensée pour qu'aujourd'hui elle soit encore aimée ? Mais ceci n'est que le fond de la mienne et mon ressenti.
En vérité l'incertitude est là, - Ceux qui l'entouraient, qu'elle eût été fillette, femme ou mère, l'ont-ils vraiment bien aimée ? -
Merci Thérèse de nous avoir parlé de George Sand comme il se devait !
Peu l'on comprise, peu ont su l'apprécier à sa juste valeur, beaucoup l'ont discréditée.
La force de son caractère gênait semble t-il, elle ne qui ne désirait qu'un tout petit statut, « vivre libre, » et pouvoir offrir cette liberté à toutes les femmes.
Mais je ne suis pas ici pour disserter sur elle, il y aurait tant et tant à dire et à contredire.
Thérèse a su nous parler d'elle comme personne n'a pu le faire auparavant ; ne fallait-il pas pour écrire une biographie de cette valeur être femme pour comprendre ce que George Sand a vécu ?
Mais cela suffisait-il ?
Ne fallait-il pas avant tout s'en imprégner pour ne dire se mettre dans la peau du personnage, voire plus, se faire accompagner par le personnage lui-même ?>
Car cette biographie est savamment réalisée, organisée pour nous faire admettre, lisant les nombreux et beaux poèmes insérés dans le récit, ce que l'écrivain à l'époque éprouvait, comme si c'était elle qui nous parlait.
George Sand n'avait-elle pas en elle un trop plein d'amour, ne désirait-elle pas que cette amour débordant aille beaucoup plus loin que sa pensée pour qu'aujourd'hui elle soit encore aimée ? Mais ceci n'est que le fond de la mienne et mon ressenti.
En vérité l'incertitude est là, - Ceux qui l'entouraient, qu'elle eût été fillette, femme ou mère, l'ont-ils vraiment bien aimée ? -
Merci Thérèse de nous avoir parlé de George Sand comme il se devait !
Khris Anthelme
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