Notre ami Patrick Montois Orbel, auteur des "Orbéliades" et du "Squelette amoureux", a eu la gentillesse de rédiger cette critique de "Poémitude tome cinquième", de Khris Anthelme :
La nature et la poésie de concert dans le recueil de Khris Anthelme.
Une superbe balade dans la nature que l’auteur glorifie, nous confiant
ses sentiments profonds sur l’aurore, les saisons, le chant du ruisseau
et celui des merles.
Il aimerait rester optimiste mais on sent dans ses sonnets beaucoup de
peine car Khris a constaté l’indifférence de l’Homme envers la nature
que l’auteur admire.
Rappelons-nous ces vers de Théophile Gautier :
……..
L’homme, avare bourreau de la création
Qui ne vit qu’aux dépens de ce qu’il assassine
…….
L’auteur nous parle aussi de la poésie, des douleurs des poètes mais
également de leur bonheur d’écrire.
Il mêle habilement la nature et la poésie nous offrant de superbes
images dans chaque sonnet, français, irrationnel, marotique ou irrégulier.
Citons Le moissonneurs, Nul ne la raisonne, Si j’étais poète, hommage
aux Apéciens, sans oublier Un poète se mire à Brest et Chez lui, le
premier étant dédié à Stellamaris, le second à Flormed.
Poémitude ne rimera pas avec lassitude ou solitude mais avec plénitude.
Merci de cette critique, Patrick ! Avec toute mon amitié.
RépondreSupprimerMerci infiniment Patrick pour cette fine analyse,
RépondreSupprimerAmicalement